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Les résultats de ces travaux montrent une évolution globalement positive de l’empreinte environnementale associée à la production de luzerne déshydratée avec notamment une diminution par 2,3 des émissions de gaz à effet de serre. Les améliorations sont principalement dues à i) une diminution des teneurs en eau de la luzerne récoltée grâce à un allongement du temps de pré-séchage au champ, mais également à un climat plus chaud et sec, réduisant ainsi la consommation d’énergie pour le transport et la déshydratation et ii) une orientation de la filière vers l’utilisation d’outils de déshydratation moins consommateurs d’énergie et intégrant des proportions significatives de ressources renouvelables, plaquettes de bois forestier et miscanthus.